Informatisation de la sécurité
Vers le concept de flexibilité malléable de la sécurité .
A la lumière des dernières statistiques de risquologie informatique, il est clair que nous devons mener une réflexion forte et fructueuse sur notre rôle de sécurisation. Toute la question de la sécurité informatique repose sur une binarité systémique réversible : diponibilité / verrouillage, et inversement.
Pour donner un exemple simple, un cryptage 128 bits du login input/output , en alourdissant le system-shifter du final user , pourrait provoquer un fading-out fatal des consignes de sécurité, ce qui constituerait un appel off-limit pour hackers.
On voit ainsi aisément que le hiatus entre la praxis coutumière des opérateurs d'un système et l'inférence technique de sécurisation met en péril le concept de flexibilité malléable de la sécurité .
Dans le but de solutionner de façon optimale la problématique, je propose la prise en considération d' un processus décisionnaire en trois temps forts :
- Opérer une estimation fiable de l'évaluation de l'outil de mesure de la dangerosité
- Rendre opérationnels les acquis patrimoniaux en termes de traitement efficient des situations de catastrophe
- Désigner de façon collégiale un groupe de mission chargé d'accélérer l'externalisation des difficultés inhérentes au processus concerné
Je tiens à ajouter en dernier lieu que dans cette hypothèse une synergie de toutes les forces vives de notre communauté est un facteur décisif de succès. Il importe donc de savoir synergiser rapidement les valorisations communes in vivo . La pérennisation du concept de flexibilité malléable de la sécurité est à ce prix !
La nana enervée !!
JC Vandame et l'illusion !!
Je ne voudrais pas rentrer dans des choses trop dimensionnelles, mais, BURP ! [il rigole] tu vois au passage qu'il n'y a rien de concret car on vit dans une réalité qu'on a créée et que j'appelle illusion et je ne cherche pas ici à mettre un point ! Donc on n'est jamais seul spirituellement !
pas pu faire mon exposé
Monsieur, je ne peux pas faire l'exposé aujourd'hui parce que ya eu une coupure de courant à la maison et en plus, ya eu un incendie et ma chambre a brûlé entièrement , mais finalement j'ai eu de la chance parce que j'aurais pu être foudroyé pendant l'orage comme j'étais en train de travailler à mon bureau avec un feutre à bille en métal.
La raison existentielle !!!
Sous quel angle faut-il envisager la raison comme concept sémiotique de la connaissance ? Si d'une part on accepte l'hypothèse que Jean-Jacques Rousseau examine la démystification subsémiotique de la raison, et que d'autre part il en systématise l'expression générative dans une perspective hegélienne, c'est donc il rejette l'analyse transcendentale de la raison.
C'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme existentielle la raison telle qu'elle est définie par Rousseau, et on ne peut contester l'impulsion nietzschéenne de l'immutabilité, contrastons néanmoins cette affirmation : s'il identifie l'origine de la raison, il est nécessaire d'admettre qu'il en caractérise la destructuration subsémiotique dans sa conceptualisation tout en essayant de l'opposer à son contexte social.
C'est dans une optique similaire qu'on ne saurait écarter de notre réflexion l'impulsion hegélienne de la consubstantialité existentielle pour l'opposer à son contexte intellectuel et social le mesmerisme sémiotique.
On ne saurait, pour conclure, ignorer la critique du mesmerisme déductif par Kierkegaard. C'est d'ailleurs pour cela qu'on ne saurait assimiler, comme le fait Sartre, le nihilisme spéculatif à un confusionnisme subsémiotique, et la raison permet de s'interroger sur un confusionnisme de la pensée individuelle.
Notons par ailleurs qu'on peut reprocher à Rousseau son confusionnisme rationnel. Nous savons que Jean-Jacques Rousseau interprète l'expression universelle de la raison. Or il s'en approprie la démystification phénoménologique dans une perspective leibnizienne contrastée bien qu'il restructure la dialectique minimaliste de l'Homme, c'est pourquoi il réfute l'expression primitive de la raison afin de supposer la dialectique minimaliste.
Néanmoins, il conteste l'expression morale de la raison, et la formulation kantienne de la raison est d'ailleurs à rapprocher d'une représentation générative de l'innéisme subsémiotique.
l'envie de Chaussée aux Moines
Bonjour, monsieur le directeur général, je tiens à preciser que je le revendique : le Chaussée aux Moines, j'en rêve la nuit ! En effet, je suis totalement ok avec vous, mais ça ne me dit pas qui a chié à coté dans les chiottes des filles... De plus, le boudin, c'est mon kif ! On peut affirmer sur une note joyeuse que j'étais strip-teaseuse dans un cirque à Zagreb ! Ceci dit, je vous préviens que si les puces avaient des trompes, la machine à laver de la mére Denis eût été peut être plus affligeant que ma voisine obése qui se gondole de rire aux blagues de Lagaf' ! ... si vous voyez de quoi je parle ! ( un peu de choucroute en dessert ? ) Franchement ? vous pensez quoi du dernier bouquin de Rika Zaraï sur les plantes au Mont Saint Michel ?
Journal de 20h du 17/03
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